Il n’y a pas de chose qui change : il n’y a que le changement.

Coucher de soleil sur l’océan, lumière dorée sur l’horizon et citation minimaliste sur l’impermanence : « Il n’y a que le changement »

Quand la pensée divise le vivant en “choses”, elle omet – ou nie – que rien ne reste fixe.
Il n’y a pas de chose qui change : il n’y a que le changement. 


La pensée – l’image, le mot ou la voix, et l’émotion qui les accompagne – divise ce qu’elle code et perçoit en « choses ».

Le symbole (l’image, le mot ou la voix) a une forme, un sens, et souvent une émotion qui lui est attachée – agréable ou douloureuse, toutes enregistrées comme mémoire et vécues organiquement dès que la pensée opère. Ainsi, la pensée donne forme à ce qu’elle appelle une « chose ».

Mais ces « choses » créées par la pensée ne sont, en réalité, rien d’autre que du changement.

Elles ne changent pas ; elles sont le changement.

Il n’existe aucune « chose » qui serait en train de changer, car la « chose » n’est que la forme, le sens et l’émotion attendue créées par la pensée comme symbole – un code qu’elle donne pour symboliser fonctionnellement ce qui n’a jamais été une chose.

Tout ce qui existe, c’est le changement.


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